Mes fanfics MOURRUES

ANGE DÉMONIAQUE

Chapitre 6
« Les os, la chair, le sang »

Malgré tout, la sortie à Pré-au-lard ne fut pas annulée. Tout le personnel enseignant s'entendait pour dire que de confiner les élèves entre les murs de l'école n'aiderait en rien au rétablissement d'une atmosphère plus gaie dans l'enceinte du château. Les élèves leur en furent très reconnaissants, bien que certains décidèrent de rester en sécurité à Poudlard pour passer la St-Valentin, malgré les nombreuses mesures de sécurité.

Je parcourais donc les rues de Pré-au-lard, me frayant un chemin entre les couples et groupes de citoyens et d'élèves, tous souriants et rieurs, trouvant enfin un peu de bonheur en cette jolie journée de février. J'étais seul, mais ce fait me laissait plutôt indifférent. Mais tous ces rires ne pouvaient que me déranger. Sans compter que toute cette histoire me rendait paranoïaque. À force de me faire narguer pour toutes sortes de raisons, j’en étais rendu à avoir l’impression que n’importe quel rire inoffensif m’était méchamment destiné. Mais je commençais à m’habituer, parce que honnêtement, je n’en avais rien à cirer.

Mes pas me menèrent jusque chez Honeydukes. J’ouvris la porte dans un tintement et parcourus les allées, peu enthousiaste. Tout autour de moi, les gens continuaient de rire et de bavarder joyeusement. Comme s’ils avaient oublié les affreux événements des jours précédents. Mais on ne pouvait pas vraiment leur en vouloir pour cela…

Il commençait à faire froid. Je remis mes gants, que j’avais enlevés lorsque j’étais entré, et continuai ma visite quasi inutile de la boutique. Question de ne pas briser la routine, je pris quelques sacs de friandises dans le pot le plus près de moi et quelques boîtes de dragées surprise.

- Salut Ronald.

Je me retournai. Une des boîtes de dragées tomba par terre, mais je ne me baissai pas pour la ramasser.

- Ah… Salut Luna.

Elle se pencha et ramassa la boîte à ma place. Me fixant de ses grands yeux bleus, elle me la tendit.

- Il fait horriblement froid, non? Je crois que le chauffage magique est défectueux… dit-elle.

Elle sourit alors que je reprenais rapidement les dragées.

- Euh…oui, répondis-je, regardant autour de moi.

L’une des raisons des rires à mon égard était que j’avais semblé délaisser Harry et Hermione pour Luna, qui ne cessait de m’adresser la paroles ces jours-ci. C’était gentil de sa part de me tenir compagnie… mais j’aurais sans doute préféré qu’elle ne le fasse pas. J’eus un faux sourire à son égard.

- Euh… désolé, il faut que j’y aille, lui dis-je, n’attendant pas sa réponse et me dirigeant aussitôt vers la caisse pour payer mes achats.

Sa voix résonna derrière moi.

- D’accord, au revoir Ronald, dit-elle assez fort pour qu’une majeure partie des gens dans la boutique se retournent à ses paroles.

Heureusement, elle n’insista pas. Je me mis en file près du comptoir. Question de passer le temps, j’examinai les bocaux de verre alignés sur l’étagère près de moi, grelottant.

Il faisait vraiment froid, bon sang!

Enfin bon. Depuis quelques jours, …

Soudain, les lumières se mirent à clignoter. Lentement, puis plus vite, pour ensuite s’éteindre. Tout le monde dans la boutique s’était maintenant arrêté.

Sur les étagères, les bocaux remplis de liquides multicolores se glaçaient lentement, dans un bruit de fissure, alors que les poils sur mes bras s’élevaient par le froid. De la vapeur se mit bien vite à voleter devant mon visage au rythme de ma respiration de plus en plus tremblante. Quelque chose se cassa derrière moi, dans un bruit sourd. Au loin, on entendait comme des bruits de tambour, ou plutôt des bruits de pas. À leur rythme le sol tremblait, de plus en plus fort…

Non… C’était impossible… pensai-je, fermant les yeux un instant, la respiration saccadée.

Puis, venant briser ce calme complet, cette attente interminablement froide, un cri à glacer le sang résonna quelque part au dehors. Quelques secondes plus tard, le sol trembla si fort que je dus me retenir à l’étagère tout près, qui oscillait dangereusement. Plusieurs cris s’en suivirent, comme des échos. Le chaos complet. Autant dans ma tête qu’au dehors. J’avais peine à y croire. Je n’arrivais pas à y voir clair.

Dans un nouveau tremblement, les étagères se retrouvèrent par terre, faisant éclater les pots et bocaux dans des éclats de verre. J’évitai l’étagère, mais les éclats me fendirent la peau du visage, m’arrachant un cri. Manquant de tomber à chaque pas, je courus vers la sortie de la boutique, tentant d’oublier la vision des quelques élèves coincés sous les étagères, hurlant à s’en briser les cordes vocales, la peau déchirée, le corps écrasé.

Tout était aussi noir, aussi monstrueux au dehors. C’était comme si on avait arraché le soleil du ciel. On pouvait à peine y voir. Mais j’aurais préféré qu’aucune de ces images n’atteignent ma rétine.

Les gens se bousculaient et couraient. Ceux qui tombaient sous les tremblements se faisaient piétiner. Je tombai à mon tour, mais réussis à me relever, posant mon regard plus loin sur la rue principale.

Des ombres voilées. Et d’énormes silhouettes. À peine trois, mais qui réussissaient à eux seuls à produire ces tremblements effroyables.

Je suivis le flot des élèves. Des professeurs hurlaient aux élèves de se diriger plus vite vers le château, tentant à la fois en vain de rétablir le calme. D’autres allaient à contre-sens du flot d’élèves, baguette parée.

Je n’arrivais à penser qu’à un seul mot : non, non, non, non, non.

Puis un second.

Hermione.

Non, non, non, non, non.

Je m’arrêtai aussitôt et scrutai la foule. Cherchant un visage. Le sien. Mais aucun ne lui appartenait.

Je me remis à courir dans l’autre direction. Apercevant McGonagall, je m’arrêtai près d’elle, me retenant de la brasser violemment, alors que je prononçais ces mots :

- Hermione! L’avez-vous vue? Et Harry? Les avez-vous vus, bon sang!?

J’haletais. Le rythme de ma respiration était si rapide que j’aurais pu mourir là, à l’instant. McGonagall me regarda, alarmée.

- Weasley! Dirigez-vous vers le château à l’instant, par la barbe de Merlin!

Son visage paraissait encore plus vieux qu’il ne l’était. Déformé par la peur, l’inquiétude et la confusion.

- LES AVEZ-VOUS VUS? Repris-je en hurlant.

- Non! Non! …Weasley, OÙ ALLEZ-VOUS? Hurla-t-elle. Mais j’étais déjà bien loin devant.

Je n’avais jamais couru aussi vite de ma vie. Je ne pensais même pas à ce que je faisais. Mes pas me guidaient à eux seuls, dans une course effrénée. Je fus soudainement bousculé et me retrouvai à nouveau au sol, m’éraflant la paume des mains et déchirant ma cape. Mais la douleur était devenue si secondaire, à présent…

- RON?

Deux mains me prirent par l’épaule pour m’aider à me relever. Le jeune homme à la cicatrice me dévisagea, les lunettes de travers. Je tentai de reprendre ma course mais il me retint fermement.

- Qu’est-ce que tu fais?!? dit-il, aussi énervé que moi.

Je le secouai vivement.

- Tu as vu Hermione?!? Hurlai-je.

Il secoua la tête si violemment que ses lunettes faillirent se détacher de son visage. Apparemment, il allait me poser la même question.

- PUTAIN! repris-je.

Je tentai encore de reprendre ma course, mais il agrippa ma cape. Elle se déchira à nouveau.

- Où tu vas comme ça? Me demanda-t-il, les yeux grands ouverts par l’inquiétude.

La rapidité d’esprit n’était vraiment pas le fort de Harry. Je mis cela sur le compte de la panique, cette fois.

- Trouver Hermione, espèce d’idiot! Parce que contrairement à toi, je me soucies de ceux que j’aime, merde! lui hurlai-je en pleine figure, le mépris déformant mon visage.

Je l’avais définitivement blessé. Mais nous n’avions plus le temps de bavasser. Il me laissa enfin partir. En fait, il me suivait en silence, bien qu’il mourrait d’envie de répliquer. Mais le même souci nous animait.

Nous arrivions maintenant à courir sans me faire bousculer par la foule, déjà loin derrière. Plus que quelques perdus couraient encore au sens contraire, le visage apeuré. Mais je n’y prêtait pas attention. Tous les bruits de la bataille un peu plus loin nous parvenaient, nous dirigeant dans les différentes rues du village. Nous étions maintenant tout près.

Je tournai un nouveau coin de rue. Juste devant, un détraqueur. Deux secondes plus tard, je courais dans l’autre direction. Mais il m’avais vu. Et il avait soif. Soif de mes peurs. De mes pires souvenirs.

- Ton père! Il s’est fait mordre, c’est grave, il y avait du sang partout…

«Vas-t-en, putain de créature. Lâche-moi!» Pensai-je, continuant de courir.

Mais dans ma tête je voyais clairement Harry me hurler sa vision de mon père, couvert de sang.

Harry??!

Je me retournai. Mais seulement le détraqueur était là, flottant vers moi. Aucune trace du Survivant. Je repris ma course, tournant un nouveau coin. Je débouchai sur une des places dégagées de Pré-au-Lard, où se déroulait apparemment le plus gros de la bataille. Des renforts de l’Ordre et du Ministère étaient visiblement arrivés. Un des géants était déjà à genoux, hurlant de douleur, mais le camp adverse avait tout de même un grand et effroyable avantage.

- Voldemort! Il est revenu! (…) Rien ne sera plus pareil, maintenant.

Un visage apeuré. Rien n’est plus pareil… Plus jamais.

- Harry! Il est en danger…

Non…pas mon meilleur ami… Mais voilà que je voyais son visage, alors que je lui criais dessus, quelques jours plus tôt. Puis son rire méprisant, joint par d’autres… couvrant les bruits de bataille dans mes oreilles.

Le détraqueur était arrivé à ma hauteur. Dans ma tête, les souvenirs étaient de plus en plus réels. J’avais peine à voir autour de moi. Je ne voyais que mes erreurs.

- Tu as vu dans la Gazette? 19 morts. Des dizaines de blessés. Ton frère Bill a faillit y passer!

Le chaos. La bataille. Est-ce qu’un jour le sang cessera de couler?

Et maintenant elle. Son visage était déçu. Déformé par la rage.

- La prochaine fois qu'il y aura un bal, tu n'auras qu'à me demander d'y aller avec toi avant que quelqu'un d'autre le fasse à ta place et non pas au dernier moment parce que tu n'auras trouvé personne d'autre !

Mes genoux fléchirent sous mon poids. Comme si je m’inclinais devant elle. Pardonnant mes erreurs.

Excuse moi…

- Ron, je n’ai pas de temps à perdre avec toi.

Elle se retourna et parti.

- Reviens! Hurlai-je, inondé par mon délire. Hermione!

Une voix plus forte résonna dans mes oreilles. Un voix bien réelle.

- WEASLEY? ...EXPECTO PATRONUM!

Un gigantesque aigle blanc surgit, éloignant la source de mon délire. Je m’effondrai de tout mon long par terre, haletant plus que jamais. Le professeur Graham me releva aussitôt.

- Qu’est-ce que vous faites là, Weasley?!

Ses cheveux étaient en bataille et une grande plaie rouge sur sa joue droite le défigurait. Je ne devais pas être beaucoup plus présentable. Les bruits de bataille assourdissants continuaient de bourdonner dans mes oreilles. Tout me semblait si mélangé que je n’y distinguais plus rien. J’eus peine à comprendre ce que Graham m’avait hurlé.

Pour toute réponse, je secouai la tête violemment et tentai de le contourner, mais il me prit par l’épaule.

- Weasley! Dirigez-vous tout de suite vers Poudlard!

Je ne l’entendais plus. Quelques secondes plus tard, j’étais projeté plus loin par je ne savais quel sort. J’atterris par terre dans un craquement sourd, m’éraflant encore un peu plus la joue et les genoux. Quelque chose atterrit sur moi quelques secondes plus tard. Quelque chose de mou et d’assez lourd. Qui ne bougeait plus.

Sachant très bien de quoi il s’agissait, je tentai de le repousser en tentant de ne pas faire attention à ses yeux grand ouverts et sans vie. Je ne le connaissais pas.

Un goût âcre s'attardait dans ma bouche, alors que des larmes de douleur se mêlaient à mon sang. Je relevai la tête. Un personne masquée de noir s’avançait vers moi, baguette levée. Pris de panique, je poussai plus fort le corps inerte m’empêchant de bouger. À peine avais-je réussi à me déprendre que je me sentis quitter le sol à nouveau, puis voler un instant. Quelques secondes plus tard, j'étais de retour par terre. Venant de me fracasser violemment sur la façade d'une boutique dans un nouveau craquement sourd.

Une voix de femme s’éleva de la silhouette encagoulée.

- Les os. Se brisant. En un craquement.

Elle s’avança plus près.

- La chair. En lambeaux. Se déchirant.

D’un mouvement de baguette, un sort fendit ma joue gauche, m’arrachant un nouveau cri. Je ne les comptais plus.

- Le sang. Rouge vif. Giclant.

Elle éclata de rire. Je tremblais de tout mon corps et des larmes de douleur continuaient de se mêler à mon sang sur mon visage. J’avais peine à garder mes yeux ouverts et à la regarder en face.

Elle enleva son masque et s’agenouilla près de moi. Bellatrix Lestange.

- Tiens donc, comme je suis chanceuse… Weasley... Alors c'est toi qui nous donne du fil à retordre.

Elle sourit, découvrant de grandes dents blanches. Ses mots ne faisaient aucun sens dans mon esprit. Je respirais si vite que j'aurais put exploser d'une minute à l'autre. Plus aucune image n'atteignait ma rétine et la souffrance était si vive sur tout mon corps qu’elle était presque devenue routine.

Les os. La chair. Le sang.

Brusquement, elle prit mon menton entre ses doigts et leva sa baguette.

Vint une lumière. Vive. Colorée.

Et en un hurlement, ma tête heurta le sol, pour ne plus se relever.

ANGE DÉMONIAQUE

Chapitre 7
« Sans titre »


Un cri de mort résonna dans la pièce.

Ce fut ainsi que je repris conscience. Les membres endoloris et les yeux clos. Je ne me sentais pas la force de les ouvrir. Mon esprit n’était toujours pas toujours pas tout à faire revenu sur terre. J’avais peine à comprendre. Je n’arrivais pas à associer les bruits que j’entendais avec leur signification. La première chose à quoi je pensai, c’était qu’il fallait que ce cri arrête. Et vite.

Il continuait de percer lorsque j’ouvris les yeux. Un aurait cru que quelqu’un subissait la torture tout près de moi. C’Était à glacer le sang.

Je reconnus tout de suite celle qui criait. Elle fut la première chose que j’aperçus. Elle était recroquevillée par terre, sale, les cheveux gras et crasseux. Son visage et ses bras étaient couverts d’égratignures et ses vêtements étaient sales et déchirés. J’avais peine à la reconnaître. Quelqu’un tentait de la retenir et de la faire aire près d’elle, mais elle se débattait comme une démente. On aurait dit une folle, tout droit sortie d’un mauvais rêve. Un démon, hurlant de douleur.

J’ai tout de suite refermé les yeux, essayant d’oublier cette vision d’horreur. Mais elle continuait de hurler. Tout me revenait en mémoire. L’attaque, les détraqueurs, les géants et les mangemorts… Bellatrix… et Hermione.

Je rouvris une nouvelle fois les yeux avec difficulté. QU’elle cesse de crier… Que ce mal de tête cesse…

- Miss Weasley! Miss Weasley! tentait de la calmer une femme.

- Ginny… dis-je en un murmure presque inaudible.

Ma gorge était nouée comme si je n’avais pas parlé depuis des lustre4s.

Elle tourna la tête vers moi, mais ses yeux ne semblaient pas m’apercevoir. Ils était vides, comme s’ils ne faisaient plus partie de ce monde. Quelqu’un la prit par les épaules alors qu’elle se débattait encore. Mais tout cessa par un éclair de lumière, la faisant retomber inerte au sol. Quelqu’un d’autre s’approcha de moi. Sombrant à nouveau peu à peu dans mon sommeil, mes paupières se refermèrent lentement. Des cauchemars vinrent me hanter, où ma sœur criait encore.

***

Lumière. Mes yeux s’étaient enfin réouverts. J’avais moins mal cette fois. Mais j’entendais encore des bruits autour de moi, comme si on avait considérablement haussé le volume. Chaque son, chaque bruissement semblait près de me transpercer les tympans.

Je tournai la tête vers ma droite. Près de moi, des bouts de papiers et des objets s’empilaient. Je mis un moment à les identifier comme étant des cartes de vœux et des cadeaux.

Je tentai de m’appuyer sur mon bras droit pour me relever, mais c’était peine perdue : il était douloureux et n’arrivait pas à soutenir mon bras. Le gauche réussit par contre à me hisser en position assise.

- Reveil a l'infirmerie - Ginny qui hurle

- Re-réveil - ron se leve, regarde mieux autour de lui
- pres de son lit, cadeau et mots de hannah, harry...
- Dean gravement blessé / justin mort
- Bill blessé (il est dans lordre du phénix)
- Habitants de pré-au-lard touchés
etc.

- Ron et Harry ont une discussion. Ron comme un con décide qu'il est encore fru.

-Quelque chose avec hermione.

- Bataille de serpentards.

the end

(Cest comme pas full hot...je me rappelle meme pu de ce qui était sensé setre passé a la fin du chap 6. Jimagine que c'est Graham qui la sauvé de Bellatrix loll)

(...) Je ne sais pas ce qui s'estpassé dans mon esprit l'espace d'une seconde. N'empêche que la suivante, je sautais littéralement sur Malfoy et Zabini, enragé comme jamais.

Tout se passa très vite, Je sais que tout le monde autour de nous s'est arrêté de respirer une seconde. Toutes les têtes étaient tournées vers nous. Mais je m'en foutais éperduement.

Je crochai un bon coup de poing droit enplein visage de Zabini. Poussant un énorme juron, il m'attrapa par le bras etm'entraina dans sa chute. Je tentai en vain de me déprendre, mais voyant que c'était voué à l'échec, je profitai de cette priximité pour donner un second puis un troisieme coup sur le visage de cette véracrasse.

Enfin décidé à agir, Malfoy me sauta dessus, baguette en main. Celle-ci fut bientôt pointée sur ma gorge. Il me forca d'un geste à me relever.

- Toujours résigné à utiliser la manière moldue a ce que je vois? dit Malgoy d'un air moqueur. Peut-être parce que vu ton niveau, tu as ainsi plus de chances...

Je résistait à l,envie de lui cracher en pleine figure. Maintenant que j'y repense, j'aurais du me soumettre à la tentation sans hésiter.

- Va te faire voir, Malfoy, lui répliquai-je d'un ton haineux.

Il se mit à me répondre de son même air arrogant. Je ne l'écoutais même plus. Et blablabla et blablabla. J'étais plutôt occupé à glisser discrètement la main dans la poche de ma robe de sorcier. C'était mon tour d'avoir l'air le plus malin.

L'instant suivant, nous étions tous les deux face à face, se menacant mutuellement de la pointe de nos baguettes. Mais il fut plus rapide que moi.

- Petrificus totalus! hurla-t-il en pointant d'un coup sec sa baguette vers moi.

Je me retrouvai par terre, raide comme une planche. Je devais avouer qu'il maitrisait ce sort beaucoup mieux que moi.

- Assez perdu de temps. Bonne fin de journée, Weasley, dit-il d'un ton ironique, un rictus déformant son visage.

Puis, l,auir de rien, il remit sa baguette dans sa poche et marcha d,un pas décidé vers l'autre extrémité du couloir. Zabini le suivit en ricanant, le mancant uneinsulte de loin.

Ce que j'étais idiot. J'aurais tout donné pour retrouver l'usage de mes muscles pour en finir avec lui.

- Finite Incantatem, dit soudain quelqu'un.

Don du ciel.

Je me relevai a la vitesse de l'éclair, courrant en sa direction. Mais je ne me rendis pas bien loin.

- Pas si vite Weasley, reprit la voix.

Mais je ne l'écoutais pas.

- Ce n'est pas fini, Malfoy! Sale fouile fils de p*** Et tu crois que c'est du sang noble qui coule dans tes veines! Tu ne deviendras pas mieux que ta p**** de mere t que ton salaud de père à Azkaban! J'espère que les détraqueurs se font un bonheur de lui pourir l'esprit!

Je fus arr^té dans monélan d'inspiration par une troisi`meme intervention de la voix derrière moi.

- Weasley!

Elle vint se poster edevant moi. McGonagall. Descente aux enfers.

(Et ca finit la!! rien de plus. C'est pas vraiment bon comme bout... lol.)